Le bois en provenance de la
scierie de Salamanca, dans
l’Etat de New York, est livré par
camions à Toronto. Il poursuit son
voyage par voie ferrée jusqu’à
Montréal. De là, les contenairs embarquent
pour les Pays-Bas. Selon les
normes américaines, les planches font
27 millimètres d’épaisseur et 135 de
largeur. La longueur minimum (l’avivé)
est fixée à 1,85 m.
De Montréal à Amsterdam, la traversée
dure entre 10 et 20 jours, selon
les caprices de la météo. Un premier
tri est effectué sur place pour contrôler
la qualité et notamment le taux d’hygrométrie,
celui-ci ne doit pas être
supérieur à 12%. Le bois est ensuite
acheminé par la route, jusqu’aux
menuiseries, qui réitéreront toutes les
phases de contrôle. Chaque planche
sera triée une à une, en fonction des
longueurs, largeurs et des critères de
qualité définis dans le cahier des charges
RAPIDO. Ce dernier est basé sur la
plus haute des qualifications internationales,
dit premium, ou 4 faces sans
défaut. À cela, Rapido a ajouté d’autres
critères spécifiques : absence de noeud
et des taches naturelles ne pouvant
excéder 8 mm.
Les bois seront, dans une première
étape, délignés, rabotés et profilés, puis
ils seront coupés à longueur, tenonnés,
cadrés, poncés et usinés avant d’arriver
au stade ultime de la finition et du vernis.
Pour l’ensemble des produits
RAPIDO, le vernis se fait de façon
manuelle, lui conférant ainsi cette qualité
et cette chaleur incomparables.
Chaque pièce sera ensuite contrôlée
une à une et expédiée dans un emballage
spécialement développé pour
RAPIDO avant d’être ajusté dans la
cellule.
REPORTAGE
Le temps d’un RAPIDO,
une journée sur la chaîne de production
Zoom sur l’AL-KO
Ébénisterie : Du bois, du vrai !
PORTRAIT L’art de déclencher des rencontres
EXPÉRIENCE Trois générations en voyage Noëlla a conduit pour la première fois
REPORTAGE L’épopée de l’érable
ENVIRONNEMENT Moins d’emballages, moins de déchets
HUMEUR DE LECTEUR Coquetterie et camping-car, l’opinion de Marcel Gandon.
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