Les 50 équipages du périple franco-chinois, dont RAPIDO était le partenaire officiel, nous ont régalés de leurs aventures durant trois mois, en alimentant une douzaine de blogs. Extraits de ces carnets de route à mi-parcours…
Parmi les nombreuses découvertes
jalonnant les 30 000 km du voyage,
Saint-Pétersbourg, Samarcande ou
encore Vilnius ont enchanté les camping-
caristes.
« Que de choses à voir, toutes plus magnifiques
les unes que les autres, mais nous
n’avons pas assez de temps … Nous
devrons revenir !! » écrivaient Georges et
Maryline Starck à propos de Saint-
Pétersbourg (10 juin).
Source : http://escapadeenccar.canalblog.com
Les échanges avec les populations locales
marquent souvent les mémoires : on
essaie de communiquer malgré la barrière
de la langue, on s’échange des objets
insolites, sans compter les gestes de la
main et les larges sourires au passage des
camping-cars. Très peu connu dans certains
pays, le camping-car a d’ailleurs
intrigué de nombreux habitants.
« Les camping-cars font l’objet d’une
grande curiosité dans des contrées où
ceux-ci sont inexistants. Jusque tard dans
la soirée, les locaux se sont donné le mot
et nombreux sont ceux qui se sont déplacés
pour visiter ces " maisons sur roues " ».
Extrait du Carnet de bord de la FFCC,
Kuitun / Urumqi, 10 juillet.
Source : www.ffcc-paris-pekin-camping-car.com/blog
L’état des routes a parfois mis les camping- cars à rude épreuve. Ornières et bosses, pistes non goudronnées, code de la route parfois inexistant, les équipages ont usé de prudence pour épargner leurs véhicules. Quelques amendes, crevaisons et réparations en tous genres ont aussi fait partie du voyage. Pourtant même le passage des frontières, parfois interminable, n’aura pas entamé la détermination des baroudeurs.
L’itinéraire initial a dû être modifié pour contourner le Kirghizstan, en état de guerre. Les équipages ont donc rejoint la Chine en passant par le Kazakhstan.
Denise et Jean-Claude Greget : un camping-car résistant
« La route M10 qui mène à Moscou est en
mauvais état, des trous, des bosses, des
ornières, mais ce n’était rien au regard du
chemin pour arriver au camp à Valdai. Le
RAPIDO n’a jamais connu encore des parcours
aussi accidentés. Il a résisté. » 11 juin.
source : http://de-la-brie-a-la-grande-muraille.over-blog.com
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PARIS PÉKIN PARIS
Retour sur les meilleurs moments
EXPÉRIENCE
Au chaud dans mon RAPIDO.